Lahdha

LA TETE BLEU GRENOBLE LE 12 JUIN 2022

18h au 44 Quai perrière Grenoble

La tête bleue est une association à but culturel et artisanal située dans un local donnant sur les quais de grenoble.

MERCI À FLORIE LAPLUME

 

 

 

 

WEEK END FRENETIQUE MARSEILLE /
LE POLYGONE ETOILÉ
13 14 ET 15 DECEMBRE 2019
TRANSMISSION DIWAN/ EDITION POETIQUE/ PROJECTION DE LAHDHA

Week-end Frénétique… Trois jours, trois nuits pour saluer les publics, habitués ou nouveaux, et les cinéastes de tous horizons qui ont affirmé la volonté de continuer l’utopie déraisonnable et unique du Polygone étoilé dans le panorama du cinéma… Trois jours, trois nuits pour retisser la trame, partager la vie commune et la puissance de ce que multitude, nous sommes…

Réouverture symbolique… Nous avons défendu notre action – après la baisse du soutien public qui nous a menés à la fermeture cet été – et obtenu la « survie » du Polygone étoilé en proposant notamment un nouveau geste qui prolonge notre soutien aux auteurs et permet une économie nouvelle. Numérisation de bandes analogiques pour retrouver des filmographies, et des films en pellicule pour continuer de travailler cette si belle matière, en complicité et complémentarité des cinémathèques… Ce vendredi 13 après-midi, on développera cette place singulière au travers d’une première numérisation d’importance, réalisée par la chercheuse Mathilde Rouxel, autour des films sur support vidéo de Jocelyne Saab, qui fut l’une des cinéastes du nouveau cinéma libanais. On se retrouvera samedi 14 décembre à 9h30 pour un point presse qui donnera des nouvelles sur les avancées (ou stagnations) des institutions.
Réouverture symbolique, car rien n’est assuré encore d’une pérennité à moyen ou long terme… Ces trois jours sont précieux pour relancer une dynamique réelle et ouvrir plus encore les portes d’un lieu unique.

Ce Week-end frénétique, comme la Semaine asymétrique, n’est donc toujours pas un festival mais une rencontre de cinéastes qui partagent avec le public leurs films et leurs recherches. Les horaires sont à titre indicatif (on essaie de s’y tenir) mais place est faite à la parole si un film l’exige… Prévoyez donc, quand vous venez, d’y passer la matinée, ou l’après-midi, ou la soirée. On y mange midi et soir (coups de mains bienvenus !) et on commence chaque journée par un petit déjeuner à 10h.

Entrez libres !
Film flamme

 

 

 

 

 

 

JUIN 2019 :

TRANSMISSION DIWAN/ EDITION POETIQUE/ PROJECTION DE LAHDHA
GALERIE DU BUISSON /

Une invitation de BARBARA TANNERY
PARIS 10ÈME

La galerie du Buisson est redevenue un salon, un lieu de rendez-vous un abri , un lieu pour partager… quelque fois, à notre rythme, quand on veut, quand on y est, quand on revient de loin ou de soi, et ce soir là on a envie de vous y (re)voir. De prendre un verre, partager de nouvelles créations, ou s’endormir dans un transat, voir un film, se souvenir des traits des sons et des couleurs, se laisser porter, se rencontrer, continuer à vivre en état de Poésie … Vous y etes attendu.e.s, en toute simplicité, apporter vos préférences, vos humeurs et propositions biensur qq oeuvres seront de sortie puis à 20h hommage au voyage, à l’instant et au vivant avec les projections de – LAHDHA, dernière création de Amandine Ferrando: http://www.amandineferrando.com/lahdha-instant/ – COUPé DU MONDE vidéo danse de Niko et de la dansseuse Louise Soulié https://www.youtube.com/channel/UCAdf5DHUakN2toELbXg3jOA Apéro 18h-20h projections 20h – 20h45 7àvous 21h-23h pin Galerie du Buisson 4 rue du BUISSON st LOUIS, 75010 Paris

 

 

 

 

 

 

27 MARS 2019 / 1ERE PROJECTION À PARIS / LE VENTRE DE L’ARCHITECTE / INVITATION DE BEATRICE RETTIG

Mercredi 27 mars 2019
Café Le Ventre de l’Architecte / Chez Samir
4 rue Burnouf 75019 Paris (Métro Colonel Fabien ou Belleville)

 

* & Scène d’improvisation ouverte *

18h00 ~ Groupe de lecture

Lecture de livres et rêves empilés (portez vos livres et rêves éveillés)

19h30 ~ Lectures & Livemix

Diffusion de Wendy Delorme & Mots de Lymnadia

Lecture de Vie Précaire (extrait de la 3ème partie du tryptique), Sophia Djitli

Lecture de Tarek Lakhrissi

Soupir de jazz de Moe Seager

Encore hier (écrit ce jour) avec un paragraphe chanté de Catarina Fernandes

Lecture et violon de Nina Zivancevic

Slam avec Dgiz

Projection de Conec, une vidéo Manifeste, suivie d’une lecture et de la diffusion sonore de Citephilia d’Eden Tinto Collins

Lecture de Nadir Khanfour

Lecture d’un extrait de Cargo, Marianne Rötig

22h30 ~ Lahdha (L’Instant)

Un film d’Amandine Ferrando avec Gwenaëlle Chastagner Angei et Imad Barakate avec sa voix-off. Le texte lu par Imad Barakate est un extrait du Diwan « Sabir ala awal » d’Abdellatif Lakouam.

& Musique improvisée (Qraqebs de Dgiz)

23h00 ~ Clôture de la soirée

Diffusion de Nowhere blues cut-up réalisé avec Fork Burke & npoem, de Jamika Ajalon

 

Livestream radiophonique & Archive aléatoire à http://inter-zones.org/livestream

* Jamika Ajalon est une auteure et artiste interdisciplinaire qui travaille avec différents médiums de manière indépendante et selon de multiples fusions incorporant du texte écrit et parlé, du son / de la musique et des visuels. Ses poèmes, récits et essais ont été publiés internationalement. Elle écrit actuellement une chronique régulière pour Itchysilk intitulée « Plume queer : Journal fugitif », co-conspiratrice de lpressl.com, et souvent conférencière invitée (Académie des Arts de Vienne, Université Américaine de Paris), chanteuse, musicienne-écrivaine (Zenzile & les Argonautes). Elle a performé ses anti-lectures audiovisuelles / slams hypersoniques et exposé à travers le monde.

* Nina Živančević, professionnelle du désordre, poétesse, essayiste, écrivaine a publié son premier livre en 1982 pour lequel elle a remporté le prix national de poésie en Yougoslavie. Autrice de quinze livres de poésie, Živančević a également écrit quatre recueils de nouvelles et deux romans. Son travail est largement traduit. Elle a écrit plusieurs pièces et a donné des spectacles de poésie en Europe et aux États-Unis. En plus d’avoir travaillé avec le Living Theatre de New York (1988-1992), elle a co-fondé avec Carlo Stephanos le « Théâtre Odiyana » en 1988. Récipiendaire de trois prix littéraires, Nina Živančević a participé à de nombreuses anthologies de poésie mondiale contemporaine.

* Eden Tinto Collins a suivi le cursus de l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy où elle s’est initié et a développé sa pratique des arts plastiques. Poéticienne, trans, –voire hyper–, médias, elle explore librement les f.r.ictions entre mélancolie, mythologie et identité, tout en développant une relation au Tiers-monde « imaginal ». De là prolifèrent un discours poétique, des dispositifs relationnels, noétiques (de la pensée et de l’esprit) activés par l’utilisation des principes de suédage et de re-enactment.

* « Les Territoires et Frontières intérieures // Voyage au coeur de l’être // Les Images mentales (dont les rêves), la Transe (notamment celle des Gnawa du Maroc) et la « Folie ». Liens qui les tissent / Portes qu’elles incarnent. » Amandine Ferrando depuis plusieurs années travaille sur l’image mentale, notamment les rêves sous forme de mises en scène et de performances. Après 9 performances réalisées avec des rêveurs·es, elle découvre la réalisation cinématographique et réalise « Lila » puis d’autres films. C’est le moyen avec la poésie d’explorer l’espace entre l’imaginaire et la réalité, le rêve, la transe, la folie et qui amène à contempler le réel à travers des plans colorés, absurdes et poétiques. Elle a aussi créé avec d’autres le Collectif de l’instant.

* Tarek Lakhrissi (né en 1992, Châtellerault FR) est un artiste basé à Paris. Il tra­vaille à partir de la per­for­mance, de l’ins­tal­la­tion, de la vidéo et de la poésie autour de la codification du lan­gage et des affects à travers une démarche fictionnelle. Ses tra­vaux ont été pré­sen­tés au sein de centres d’art (Palais de Tokyo – Paris, Fondation Gulbenkian – Paris, Fondation Lafayette Anticipations – Paris, Bétonsalon – Paris, DOC ! – Paris, La Gaité Lyrique – Paris, Auto Italia South East – Londres, SMC/CAC – Vilnius, Kim? – Riga, Lettonie, Artexte – Montréal, Confort Moderne – Poitiers, Circa Projects – Newcastle, Wendy’s Subway – Brooklyn. Il est actuel­le­ment en rési­dence et présente sa première exposition personnelle à La Galerie, CAC (Noisy-Le-Sec).

* Lymnadia est née des mots qu’elle dit. Elle dit par exemple : Une carapace entoure son corps. Sa vision est son contact avec l’extérieur. Son oeuil de cyclope est de mauvaise augure et d’amour. Elle est essentiellement femelle par naissance, par choix ou par nécessité. Elle affectionne les prairies inondées par les crues. Elle se déplace par ondulations. Ses tentacules sont sa bouche et sa respiration. Elle les utilise pour glaner les mots des autres nécessaires à sa survie. Sa maturité sexuelle est rapide et hermaphrodite.

* Moe Seager a publié plusieurs recueils de poésie et dirige également des ensembles de jazz à Paris et à New York et dans d’autres villes en tant que poète et chanteur de jazz.
Il est l’hôte de la série de soirées de lectures parisiennes Angora Poets.
Son travail a été publié aux États-Unis, et traduit en français et en arabe en France et en Égypte.
Seager est aussi lauréat du Golden Quill Award pour le journalisme d’investigation et de celui pour les Droits humains de l’Université de Pittsburgh.

* Après des études de philosophie, Marianne Rötig travaille quelques années à La Borde, puis vit à Bruxelles et Paris. « Cargo » n’est pas seulement un récit de voyage d’une semaine, du Havre à Malte, qui l’a conduite à l’écriture, mais aussi un récit autobiographique, paru en octobre dernier. Avec cette traversée, elle se dit « qu’il faut s’aventurer à raconter le monde, encore et encore, qu’on le peut et que l’on doit ».

* Les recherches de Sophia Djitli (*1986, vit et travaille entre Paris et Bordeaux) mettent en relation les formes de la performance et de la conférence, les formes de corporéités dans les processus de subjectivations des groupes sociaux minorisés. Depuis son cursus en Genre, Politique et Sexualités à l’EHESS-Paris, elle a donné naissance à plusieurs groupes de travail mêlant recherches académiques et volontés d’interventions sociales. Elle coordonne actuellement des événements curatoriaux et des projets de production et de diffusion en art en France, en Allemagne et au Chili.

 

* L’organisation est collective, et contributive et s’invente de proche en proche à partir d’une invitation de Nina Živančević, Jamika Ajalon et Béatrice Rettig en janvier *

 

Liens :

http://ninazivancevic.com/http://soundcloud.com/ninazivancevic

http://jamikaajalon.com/http://facebook.com/jamikaajalon.artistpage/

https://instagram.com/edentintocollins/https://vimeo.com/293639070

http://amandineferrando.com/http://facebook.com/collectifdelinstant/https://facebook.com/Amandine.Ferrando11/https://vimeo.com/user10353438

https://tareklakhrissi.com/

http://facebook.com/nad.khanfour/

http://lymnadiapoesie.wordpress.com/

http://inter-zones.org/auteur-e/sophia-djitli/

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http://dgiz.free.fr/

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* Image d’en-tête : Amandine Ferrando *

Faire suivre / Partager :
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Soirées précédentes :
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MANIFESTE (Lectures & Lives)
Front Transnational Uni contre le Fascisme

 

 

 

 

 

SORTIE DU FILM : « LAHDHA »: 3 JANVIER 2019
Réalisé au Maroc en 2013_2014

Lahdha / Instant
Film avec Gwenaëlle Chastagner Angei et Imad Barakate de Amandine Ferrando.
Avec en « voix off » Imad Barakate
Texte lu par Imad : Extrait du Diwan « Sabir ala awal » de Abdellatif LakouamPROJECTION : GALERIE DU BUISSON / LAHDHA

Lahdha c’est un film poétique, un film qui raconte le parcours d’un homme (Mejdoub) mais aussi d’une femme, un échange entre un conteur et un nomade, un poème errant sur les routes du Maroc bercé par les Gnawa, les Bayfall et le soufisme…
Une sonorité poétique, un parcours subtil qui nous parle d’un homme qui par errance amoureuse va se confronter à lui même .
Des images filmées dans l’instant lors d’un voyage au Maroc, un voyage de transmission ou la réalité va rejoindre le conte, un parcours/ questionnement sur l’image-instant, l’image fiction et/ ou réel, l’image mentale/ intérieure et la transmission.
Quand l’instant fait surgir le réel, il nous rapproche peut être du sacré et donc de nous même .